Description
LA CONQUÊTE DES GRANDS ESPACES
« Washiya ! Ullukkut ! Deux mots venus de loin pour vous souhaiter la bienvenue dans ce 26e numéro de Québec Le Mag’. Deux langues, celle des Cris et celle des Inuit qui, bientôt peut être, interrompront le silence des grands espaces nordiques pour vous réchauffer, accompagnées du sourire de vos hôtes. Bienvenue dans les contrées du Nord du Québec ! Pour le voyageur en quête d’horizons inédits, les émotions à récolter au-delà du 49e parallèle sont nombreuses et intenses, à commencer par le goût de l’immensité face à cette nature sauvage semblant ne connaître ni maîtres, ni limites.
UNE ÉDITION PRINTEMPS 2018 FORTE EN ÉMOTIONS
De la forêt boréale à la banquise en passant par la taïga et la toundra, la région Eeyou Istchee Baie-James et le Nunavik vous lancent une invitation unique au monde à tutoyer l’infini. Pour les randonneurs, trekkeurs, pêcheurs sportifs, naturalistes en herbe ou tout simplement les candidats à l’évasion radicale, le terrain de jeux repousse les limites de l’imagination. Il faut dire qu’il recouvre plus de la moitié de la superficie du Québec et représente une fois et demie celle de la France ! On y rencontre le caribou migrateur, l’ours polaire, le morse ou encore le renard arctique. On y apprend à construire un igloo et à se déplacer sans route goudronnée.
CAP SUR LE GRAND NORD : UN CHOIX DE VIE
On y vit des expériences à couper le souffle, quand ce n’est pas le ciel qui s’en charge par la magie d’une aurore boréale. Cerise sur l’Inaluuyak (petit pain frit inuit), au spectacle de la nature indomptée s’ajoute le véritable trésor du voyage : la rencontre avec les peuples du Grand Nord et la découverte de leurs modes de vie empreints d’une culture ancestrale. Cris de la Baie-James et Inuit du Nunavik sont non seulement la clé pour comprendre et vivre les territoires des confins, mais ils sont aussi le sourire du Nord, toujours fiers et heureux de partager leur grand bout de pays avec les visiteurs. Un autre Québec, sans aucun doute. Le Québec dans toute sa splendeur. »