Se glisser sous le chapeau d’un authentique cowboy
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À l’échelle nord-américaine, cette zone humide n’a pas volé sa réputation de petit paradis pour les oiseaux. Plus de 300 espèces de volatiles y ont été répertoriées, dont les deux tiers y sont présentes de façon régulière. À l’échelle du Canada, on en dénombre 600 selon les statistiques. Voilà qui donne une idée de la richesse de cet écosystème très productif qui invite autant à la contemplation qu’à la déconnexion. Les 36 km2 du site Oak Hammock sont une ode à la diversité. Outre de nombreux animaux ailés, on y trouve une trentaine de mammifères, mais aussi des amphibiens, des reptiles, des poissons et quantité d’invertébrés. Ce n’est pas tout : le havre de paix héberge un marais de prairie revitalisé, un bocage de trembles et de chênes, des sources artésiennes… et même certaines des dernières parcelles de prairies à hautes herbes. Cette terre gérée par le ministère du Développement durable de la province peut se découvrir à pied (grâce à ses 30 km de sentiers), à vélo ou en canoë durant la belle saison. La raquette est une autre façon de l’explorer en hiver.
Le marais n’est pas la seule attraction des lieux. Le Centre de découverte Harry J. Enns fait également partie du paysage. Inauguré le 1er mai 1993, l’endroit a pour vocation de « relier les gens aux milieux humides ». Cela passe par une large gamme d’activités et d’ateliers proposés tout au long de l’année pour en apprendre davantage sur cette zone faunique. Les expositions qui y sont présentées participent aussi à cette volonté de mieux connaître les milieux humides et leurs habitants. La notion d’apprentissage est imbriquée dans cet organisme à but non lucratif qui s’adresse à toutes les générations. Le cadre est par ailleurs propice à de nombreux programmes d’éducation et de sensibilisation.
On a coutume de dire que le marais d’Oak Hammock est le paradis des oiseaux et cette réputation n’est pas usurpée. Les migrations, qui s’étirent du printemps à l’automne, sont particulièrement propices aux observations. Le nombre de volatiles qui fréquentent le marais durant cette période est très important, et peut même dépasser les 100 000 par jour ! Autant dire que les appareils photos et les paires de jumelles ne restent jamais longtemps inactifs. Le marais est notamment une aire de rassemblement pour la sauvagine – c’est-à-dire les oiseaux aquatiques sauvages – et les oiseaux de rivage. Il accueille également une grande variété d’oiseaux chanteurs, dont certaines espèces indigènes comme le râle jaune, le bruant de Nelson et le bruant de LeConte.
Plus d’infos : oakhammocknarsch.ca
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